Nous avons le plaisir de vous inviter à l’exposition de photographies « Les Brésils, contrastes et paradoxes » de Jean-Pierre GUIS, ce Français passionné par la culture brésilienne.
Expo : « Les Brésils, contrastes et paradoxes »
Photographe : Jean-Pierre GUIS
Programmation : Tous les jours de 11h00-19h00
Lieu : Viaduc des Arts
Adresse : 83 avenue Daumesnil, 75012 Paris
Métro : Gare de Lyon, Bastille, bus 29
Date de début : 15 octobre 2016
Date de fin : 31 octobre 2016
Entrée gratuite
Organisateur : Association Autres Brésils
Soutien :
Ambassade du Brésil à Paris
Mairie du 12ème Arrondissement de Paris
Institut culturel Alter’ Brasilis
Brasileiros Sem Fronteiras
Centre Culturel du Brésil
CAici – Institut International Culturel Castro Alves
Le Viaduc des Arts
SEMAEST
Événement Facebook : www.facebook.com/events/259893517739381
Chargée de communication :
Louisa Monteiro
www.brasileirossemfronteir
+33 618797051
+49 1755215285
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(Dernière mise à jour : 2016-10-12, Allemagne 09h32)
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#JeanPierreGUIS
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Jean-Pierre GUIS photographe
Musicologue et psychologue, ancien élu parisien délégué aux relations culturelles avec le Brésil, Jean-Pierre Guis a organisé plusieurs festivals consacrés au Brésil. Au fil de nombreux séjours marqués par la diversité des paysages et des populations, l’exercice de la photographie s’est imposé à lui comme une évidence. Son regard sur le Brésil est parfois grandiose, et parfois insolite voire amusé. Ainsi que l’écrit Robert Grélier (critique d’art et essayiste) « les photos de Jean-Pierre Guis, cet insatiable curieux, sont celles d’un amoureux militant. Il témoigne comme seuls savent le faire les explorateurs».
Ce qu’il montre est souvent un « autre Brésil », même s’il n’oublie pas de rendre hommage à certaines splendeurs plus classiques. Il montre la poésie et les lumières du Brésil, mais aussi sa folie et ses paradoxes.
Jean-Pierre Guis a participé à plusieurs expositions photographiques collectives (Centre Culturel Brésil-France, en septembre 2011, « Artes Sem Fronteiras » en 2015).
Trois expositions sous son nom propre ont également été organisées récemment : au Brésil (Porto Alegre, juillet 2015), à l’Abbaye Royale de Celles-sur-Belle (septembre 2015), à la Bellevilloise (Paris, mars 2016).
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Extraits du texte « Le Brésil insolite de Jean-Pierre GUIS », écrit par Robert Grélier, critique d’art et essayiste :
« Jean-Pierre Guis se complaît dans la marge. Son objectif fixe les femmes et les hommes aux allures inhabituelles (…) Pour lui l’architecture n’est valable que si elle apporte son lot de formes et de lignes abstraites (…) Le grotesque ne fait pas peur au photographe. Il traque, débusque tout ce qui est bizarre et rare ; il s’en approche pieds nus, pour ne pas effaroucher le sujet, et l’avale comme une gourmandise. »
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Extraits d’un article de Romulo Marques : « le Brésil de Jean-Pierre Guis », publié dans le magazine Americas Latinas Mag (septembre 2015) :
« Pour parler des magnifiques photos de Jean-Pierre Guis, nous pouvons parler du cœur, d’une histoire d’amour entre un homme et un pays, de la présence humaine dans chacun de ses rêves lointains, de l’homme amoureux qui parle de couleurs, de toutes les couleurs passionnantes qui décrivent les paysages d’une façon minutieuse, la beauté dans son berceau naturel, et des hommes qui pleurent, ainsi que ceux qui rient. »
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